• Marceline Desbordes-Valmore

    Marceline Desbordes-Valmore

     

     

     

    Première en date des poètes du romantisme, cette femme prétendument

    ignorante était en fait une savante méconnue. Au surplus, elle fut

    la marraine indiscutable de « muses » de la fin du siècle 

    Anna de NoaillesGérard d'HouvilleRenée VivienCécile Sauvage,

     Marie NoëlLouis Aragon, qui l'admirait, a fait référence à elle à plusieurs

    reprises, ainsi dans son recueil Elsa (« Valmore qui pleure à minuit »,

    dans « Je suis venu vers toi comme va le fleuve à la mer »)

    ou dans Les Poètes (« Le Voyage d'Italie »). 

     


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